Ils parlent de fêtes improvisées
Ou prévues de longues dates.
De soirées délestées
Ou les corps cessent de se battre.
Ils parlent de filles d'une nuit
Dont ils n'ont retenu ni la voix, ni le nom
D'histoires fausses déglutis
Face à des verres vides où se meurent des glaçons.
Ils disent tu ne me croira jamais
Je te jures je ne ments pas
Mais ne cessent d'en rajouter
Pour enjoliver leurs blablas
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